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Titre du blog : Petites pensées !
Auteur : violacanina
Date de création : 24-03-2011
 
posté le 31-03-2011 à 17:22:50

Le 31 Mars 2011!

 

Le 31 MARS 2011!

 

 

Désolée je ne suis pas venue faire ma page d'écriture pendant

deux jours ,pas mal de travail !

 

Aujourd'hui nous allons passé un petit moment avec des danseuses !

 

                 

 

                        Je vous présente le Swam Lake Ballet !

Swan Lake est un ballet de Matthew Bourne, créé en 1995, sur la musique de Tchaïkovski.

La surprise majeure de cette interprétation vient de ce que les deux actes de Lev Ivanov sont dansés en force et puissance par des hommes uniquement plutôt qu'en grâce et légèreté par des femmes. Dans le reste de la représentation, le corps de ballet est mixte et la chorégraphie appuie fortement l'aspect sexué des relations entre hommes et femmes.

En remplaçant les cygnes incarnés par des femmes par un ensemble masculin menaçant, Matthew Bourne marie danse, élégance, humour et mime pour présenter un Lac des cygnes moderne, provocant et saisissant : Swan Lake transforme l'un des ballets les plus appréciés au monde en un conte contemporain, proposant au public une analyse sincère et approfondie de l'amour humain, de l'oppression sociale et du pouvoir de l'imagination.

 

 

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et maintenant deux vidéos  regarder bien la différence !

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                       Le Grand Pas de Quatres par Le Swam Lake Ballet






La compagnie masculine Les Ballets Trockadero détournent les standards et les codes de la danse classique au Théâtre du Châtelet. Aussi spectaculaire que drôle.

Des hommes déguisés en ballerines avec maquillage, tutus et pointes. Tel est le pastiche que proposent les Ballets Trockadero de Monte Carlo, au Théâtre du Chatelet à Paris jusqu’au 26 avril. La troupe, composée exclusivement de messieurs, détourne les codes de la danse classique en reprenant des ballets imaginés pour des femmes. Interprétés par des hommes, le Lac des cygnes, Paquita ou encore le Grand Pas de quatre prennent une dimension hilarante.

Les « Trocks », comme on les appelle dans le milieu de la danse, ont été créés en 1974. « Il s’agissait alors de tout autre chose. Un petit groupe de danseurs amateurs qui se produisaient la nuit dans les caves de Broadway », explique Claude Gamba, le danseur français de la troupe. La compagnie a ensuite été reprise par des professionnels sans abandonner sa vocation comique. Les Trock reprennent les ballets classiques avec autodérision mais en s’appuyant sur de solides bases techniques. La parodie repose d’ailleurs surtout sur l’exagération des ports de bras, l’ajout de mimiques et d’une gestuelle parfois masculine, en contraste avec les tutus et le maquillage.

Danseurs sur pointes

La troupe est actuellement composée de 16 danseurs italiens, espagnols, portoricains, américains, israéliens et d’un seul Français, Claude Gamba. Il a rejoint les Trock en septembre dernier, réalisant un rêve de longue date. Le jeune homme originaire de Nice a toujours voulu être danseur. Mais il n’aurait jamais espéré devenir danseuse… « Je connaissais le spectacle. Je trouvais fantastique pour un homme de danser sur pointes. Quand je me suis rendu compte que j’en étais capable, j’ai tout de suite pensé à intégrer la compagnie. »

Traditionnellement, cette technique des pointes est en effet réservée aux danseuses. « Très peu de garçons osent se lancer. A force de travail, ils peuvent faire aussi bien que les filles. C’est très gratifiant pour moi d’avoir réussi. » Si Claude Gamba est attiré par les pointes, ce n’est pas seulement pour la performance technique. « On n’a presque pas de contact au sol, on est au bout de soi-même », souligne-t-il.

Un rôle de composition comme un autre

Après être passé par les ballets de Nice, Paris, Zurich, La Scala de Milan, la Compagnie Maurice Béjart et les Ballets de Monte Carlo, reprendre un rôle de femme n’est qu’un défi de plus pour Claude Gamba. « Certaines filles vont rêver de danser ces ballets sans jamais y avoir accès. C’est un rôle de composition comme un autre. J’ai déjà joué un prince par exemple, alors que je n’ai pas de sang royal ! » note t-il à juste titre.

Après avoir relevé ce pari original, Claude Gamba espère que la danse pour homme ira encore plus loin. « Les chorégraphies sur pointes pour les hommes ne sont pas encore assez développées », regrette t-il, mais il n’est jamais trop tard.

 

Par Lisa Gougué de France Soir !